À cause de Covid-19, les festivals d'été sont partagés entre ajustement et annulation

Considérés comme une espérance fondée sur quelque promesse et sur des probabilités, les festivals d’été sont toujours dans l’expectative, pendant que le ministre de la Culture met en place des restrictions qui vont gouverner les évènements culturels estivaux. Le nombre total de spectateur autorisé à participer à ces genres d’évènement ne dépassera pas les 5000. Ces derniers seront assis et distanciés.

Le nombre des festivaliers est limité et d’autres festivals sont annulés

La question qui se pose ici est de savoir si tous les festivaliers pourront savourer de la bonne musique cet été ? La réponse est belle et bien «oui», mais, le mois dernier, le 18 février 2021, le gouvernement a statué en déclarant que, au plus 5000 personnes seraient permises à ces évènements au vu de la pandémie de Covid-19.
Les réactions sont néanmoins diverses du côté des organisateurs. En effet, le patron du festival Hellfest, indique que l’annulation de son festival semble inéluctable. C’est un évènement spécialisé dans le métal qui avait rassemblé plus de 170 000 festivaliers en 2019 et avait subi une annulation en 2020 en raison de la pandémie. Il était normalement prévu pour juin prochain, néanmoins les conditions sanitaires s’opposent à sa tenue.

Gérard Pont, de son côté, salue les annonces du gouvernement

Patron des Francofolies, Gérard Pont est l’un des organisateurs de festival qui reçoivent favorablement les annonces de la ministre de la Culture, comme une bonne nouvelle exceptionnelle. Il indique qu’en 2020, précisément en avril, les festivals n’étaient nulle part et sans décision. Mais en ce début de l’année 2021, le gouvernement dit aux organisateurs qu’ils pourront organiser des festivals. Ainsi, « C’est déjà formidable ».
Pour le grand organisateur des Francofolies, prévu en juillet et ayant attiré 150 000 festivaliers en 2019, des milliers d’artistes songent de jouer devant 5000 spectateurs, et de plus, leur programmation n’est pas internationale et donc, c’est possible s’adapter à la situation actuelle. Les choses pourront probablement s’améliorer d’ici 5 mois, estime Gérard Pont.